Des freins pour les consommateurs et les réparateurs
L’étude met en lumière plusieurs freins au développement du bonus réparation :
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- Manque de connaissance du dispositif: 47% des consommateurs ne connaissent pas le bonus réparation.
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- Montants insuffisants: 74% des consommateurs jugent les montants des bonus trop faibles.
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- Proximité géographique: 85% des consommateurs souhaitent un réparateur labellisé à proximité de chez eux.
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- Coût et complexité de la labellisation: 80% des réparateurs ne souhaitent pas se faire labelliser.
Des recommandations pour améliorer le dispositif
HOP formule plusieurs recommandations pour améliorer l’impact du bonus réparation :
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- Diminuer ou supprimer le coût de la labellisation pour les réparateurs.
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- Rendre éligibles au bonus les pannes logicielles et les pièces indispensables au bon fonctionnement du produit.
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- Diffuser un message clair aux consommateurs et réparateurs.
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- Institutionnaliser le Conseil national de la réparation (CNR).
En parallèle, les consommateurs et réparateurs interrogés estiment que d’autres mesures sont nécessaires pour encourager la réparation :
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- Interdiction des pratiques de sérialisation.
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- Accessibilité des pièces détachées.
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- TVA réduite sur la réparation.
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- Interdiction de la mise sur le marché des produits dont l’indice de réparabilité est inférieur à un certain seuil.
L’association HOP appelle les citoyens et les réparateurs à continuer de témoigner sur leur expérience du bonus réparation sur le site www.bonusreparation.org.
